Prénom : Jacques        Nom : PICHON        Dit : picjac

Né le : 10/06/1943 à Haute Goulaine (Loire Atlantique)

A 15 ans : je « commets »  une plaquette de poésies : Les Ombres, 300 exemplaires distribués!

Formation : Bac Philo à Nantes en 1960

Dossier présenté pour l’entrée aux Beaux Arts de Nantes : je renonce devant les doutes de ma famille…

 Ecole Supérieure de journalisme, Rue de Rennes à Paris, (diplôme en juillet 1962)

De 1960 à 1962 : Sociétaire du Collectif artistique de l’est Parisien.et pigiste à Hara-Kiri Hebdo !

Rédacteur à Ouest France Rennes de 1962 à 1964,

Interruption : Service militaire.

 Rédacteur de 1965 à 1966 à la Nouvelle République de Tours.

Délégué commercial à la division Arts graphiques  de Kodak Pathé à Vincennes

Directeur régional de banque d’affaire (Cie Bancaire puis AXA) de 1971 à 1993

Puis responsable de commercialisation en promotion immobilière (1993 à 2004).

Enfin, inscription comme artiste peintre à plein temps en 2012, depuis,

-j’ai participé à 21 Expositions régionales :

Invité  8 années consécutives  au  Salon des Arts Plastiques du Mans.

 Invité à 7 éditions consécutives du Salon  National d’Yvré le Polin : Récompensé par le «Coup de cœur  des jeunes » en 2018

J’ai exposé durant  « Le Salon de Juillet 2020 » organisé par La Galerie Thuillier Paris :

Participation au Salon de La Rochelle 2020

Médaille de Bronze de l’Académie Arts Sciences Lettres, en 2020.

Démarche artistique :

Une peinture obsessionnelle comme centre d’intérêt, le désir de m’exprimer par l’art ne m’a jamais quitté, je m’y consacre, aujourd’hui à temps plein, Je « claque »sur la toile les songes de la nuit, les phosphènes, les obsessions, les mythes ou le souvenir des poésies apprises ou retrouvées… Toute trace mentale me fournit «le motif » ! Je construis puis je peins et reprends de manière inlassable, me laissant envahir d’images, de sentiments, songes, mis en œuvre à coups de pinceaux, couteaux…

En assemblant formes et couleurs, je tente de rendre intelligible mon imaginaire et ce que le réel masque parfois à l’être humain!